Aveuglées par des avantages minimes de leurs gadgets électroniques, les nouvelles générations, emprisonnées dans un monde virtuel, aux âmes séparées de la réalité, sont contrôlées, des esclaves pour le développement technologique, ignorant les cris désespérés des parents inquiets sur la santé de leurs enfants. Avec peu d’avantages, ces inconvénients vous font douter de la stabilité de cette force de sorcellerie.
Un centre d’attraction de l’attention des jeunes, cet aimant affaiblit les capacités mentales de ses utilisateurs, représentant une source infinie des enzymes de dopamine, suffisant d’un simple geste d’ouvrir un appareil numérique à se faire aspirer dans le vortex infini de l’internet, sans avoir conscience de notre entourage. Cette force anormale enchaîne ses utilisateurs loin de leurs tâches quotidiennes, qui s’accumulent, jour après jour, dans une barrière infranchissable.
Tel une addiction, cette maladie technologique se loge dans les crevas de nos cerveaux, contrôlant nos corps comme des mecs, isolant ses esclaves de la société, les traînant aux parties assourdissantes de la dépression, commis dans un acte d’autodestruction, d’où sa santé mentale dérive dans l’abîme, transformant les enfants en machines creuses, non plus que quelques lignes de codes sur un écran électronique.
Cette entité horrifique soupçonne dans notre entourage, cette force est apprivoisable, mais, aux mains de ces adolescents, elle transforme en monstre chaotique capable d’abimer leur attention et leur mentalité, tel un poison toxique, qui prend victoire sur leur corps inéluctablement.
Commentaires (0)